Veille juridique

La veille juridique est une veille spécialisée dans le domaine du droit. Elle permet, en fonction de l’actualité, de faire émerger les points importants de l’évolution du droit. En effet, elle prend naturellement en compte les évolutions législatives et règlementaires mais aussi les évolutions jurisprudentielles qui interviennent en les analysant, en faisant apparaître leurs apports et leur intérêt pour le droit.

Identifier les nouveautés importantes pour le droit

La veille juridique va avoir pour mission d’identifier les nouveautés importantes pour le droit, de les traiter, pour en faire ressortir leur impact sur les normes en vigueur et de les diffuser, pour les porter à la connaissance des justiciables.

En effet, elle permet d’anticiper les changements liés à l’adoption de nouveaux textes de loi mais aussi d’anticiper éventuellement l’impact de l’application des normes européennes (directive, règlement et recommandations) et internationales, qui sont parfois invocables directement devant les juridictions nationales.

Se tenir au courant de l’évolution des normes juridiques

En somme, elle permet aux entreprises et aux salariés de se tenir au courant de l’évolution des normes juridiques afin d’identifier les bonnes sources d’informations et de savoir ce qui est permis ou non par le droit en vigueur car selon un célèbre adage : « nul n’est censé ignoré la loi ».

Vous trouverez donc ici, des veilles analysant l’actualité juridique, retraçant les nouveautés importantes sous forme d’une étude ayant pour vocation d’éclairer les justiciables.

Pas de visite de reprise pour les arrêts de travail inférieurs à 30 jours

Pas de visite de reprise pour les arrêts de travail inférieurs à 30 jours Le Décret 2012-135 du 30 janvier 2012 relatif à l’organisation de la médecine du travail prévoit une diminution de la fréquence des examens médicaux pratiqués par le médecin du travail au bénéfice des salariés dont le contrat de travail est suspendu [...]

2012-11-13T22:52:05+01:0013 novembre 2012|

La rupture conventionnelle signée peu après le prononcé d’une sanction disciplinaire est valide

La rupture conventionnelle signée peu après le prononcé d’une sanction disciplinaire est valide Le fait pour un salarié de recevoir un avertissement peu avant la signature de la convention de rupture avec son employeur ne suffit pas à lui seul à caractériser l’existence d’un différend entre eux susceptible d’annuler la rupture conventionnelle. CA Paris 22 [...]

2012-11-12T22:46:49+01:0012 novembre 2012|

Le salarié doit être informé de ses droits au DIF même s’il ne peut pas suivre une formation

Le salarié doit être informé de ses droits au DIF même s’il ne peut pas suivre une formation L’employeur doit informer le salarié, sauf s’il a commis une faute lourde, dans la lettre de licenciement, de la possibilité qu’il a de demander pendant le préavis à bénéficier d’une formation dans le cadre du DIF. Plus [...]

2012-11-10T22:42:15+01:0010 novembre 2012|

Retards répétés d'un salarié : pas de faute grave sans avertissement préalable

La Cour de cassation considère qu'un salarié comptant trois ans d'ancienneté et qui multiplie les retards sur une période d'un mois ne peut être licencié pour faute grave sans avoir été mis en garde au préalable. Les retards à la prise de poste ou absences injustifiées d’un salarié ne constituent pas systématiquement une faute suffisamment grave pour justifier la rupture immédiate du contrat de travail...

2012-11-09T22:37:22+01:009 novembre 2012|

Les conditions de validité de la rupture conventionnelle : droit du salarié de se faire assister lors des entretiens

La position des Cours d'appel diffère sur la question de savoir s'il existe une obligation d'information à la charge de l'employeur sur la possibilité pour le salarié de se faire assister lors de l'entretien préalable à la rupture conventionnelle. En vertu de l'article L 1237-12 du Code du travail, le salarié......

2020-04-21T10:27:36+02:008 novembre 2012|

Obligation de faire passer la visite médicale d’embauche

Le salarié qui ne bénéficie pas d’une visite médicale d’embauche subit un préjudice justifiant des dommages et intérêts, même en cas d’embauche en contrat à durée déterminée. L’obligation de faire passer au salarié une visite médicale d’embauche est rappelée aux articles R 4624-10 à R 4624-12 du Code du travail et ressort de l’obligation de sécurité de résultat à laquelle l’employeur est soumis.

2012-11-05T22:13:29+01:005 novembre 2012|

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